mardi 21 juin 2011

Avant qu'il ne soit trop tard...

La liberté c'est comme le bonheur, c'est ce qui manque lorsqu'on l'a perdue


Et si l’opération d’endettement irrationnel des États n’était en vérité que l’un des aspects d’une stratégie pour contraindre les gouvernements de chaque pays qui se croit indépendant - et leurs populations -, à un abandon considérable de souveraineté, lors d’un long processus de mise en faillite inéluctable et programmée, au bénéfice d’une technostructure mondialiste sous le contrôle d’une oligarchie apatride et non démocratique (Europe, F.M.I., FED, Banquiers) ?

Si la Grèce accepte les conditions qui lui sont imposées, que restera-t-il de son indépendance, de son soi-disant système démocratique, puisque les dirigeants imposent par la force ce que le peuple rejette vigoureusement ; de sa spécificité sociale et culturelle (surtout si l’ensemble de ses richesses, y compris géographiques, est bradé au profit de spéculateurs étrangers)... Que seront les Grecs dans leur propre pays, si ce n’est rien d’autre que des indigènes sous protectorat de maîtres colonisateurs et au service desquels il devront se soumettre pendant très longtemps ?

Que doivent attendre de mieux, les pays qui devront se soumettre à l’exemple grec ?


La liberté se reçoit par héritage, se conserve par la volonté d'en défendre ses acquis, pour être transmise aux générations futures.*

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